Faire appel à un courtier hypothécaire : un meilleur choix que la banque?

Un guide pour simplifier vos démarches

 

Acheter sa première maison, c’est excitant, mais aussi intimidant.

Vous vous demandez par où commencer, comment choisi le bon prêt, ou si vous allez payer trop cher? Heureusement, il y a une solution simple : travailler avec un courtier hypothécaire. Voici pourquoi un courtier peut faire toute la différence.

Pas facile de s’y retrouver avec tous ces termes comme "amortissement" ou "terme hypothécaire". Taux fixe ou variable? Pas de stress : un courtier est là pour simplifier les choses, analyser votre situation et vous guider vers le meilleur choix.

Contrairement à une banque, qui vous propose ses propres produits, un courtier compare en moyenne plus de 20 prêteurs pour trouver la meilleure offre et vous guide à chaque étape.

Un meilleur taux peut représenter des milliers de dollars d’économies sur la durée de votre prêt. Avec un courtier, une réduction de 0,5 % sur le taux d’un prêt de 250 000 $ peut vous faire économiser plus de 10 000 $ en intérêts.

Résultat? Un meilleur taux, plus d’options, et surtout, la tranquillité d’esprit.

 

Tout ça, gratuitement!

 

Contrairement à un courtier immobilier, à qui vous payer une commission pour la vente de votre maison, le courtier hypothécaire ne reçoit aucune commission de votre part. Alors, pourquoi vous compliquer la vie quand un expert peut s’en charger pour vous?

 

Vivez votre rêve sans stress

 

Un courtier ne fait que vous aider à trouver un prêt : vous ne serez jamais seul face aux décisions importantes ou aux imprévus. Que ce soit pour planifier votre budget, éviter des pièges ou répondre à vos questions au fur et à mesure, il est là pour vous simplifier la vie. Avec lui, vous avancez avec confiance, en sachant que tout est sous contrôle.

Pourquoi attendre plus longtemps? Chaque jour compte lorsque vous planifiez un achat immobilier. Prenez 5 minutes pour parler à un courtier hypothécaire aujourd’hui et économisez temps, argent et énergie. Faites de votre maison de rêve une réalité!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Compte conjoint : gestion romantique ou piège financier?

Auteur : Équipe Strateginc

Les finances partagées peuvent être un excellent moyen de simplifier la gestion quotidienne des dépenses d’un couple. Toutefois, avant d'ouvrir un compte conjoint, il est essentiel d'en comprendre le fonctionnement, tout en considérant ses avantages et ses inconvénients. Il existe de nombreuses raisons de l'utiliser mais il convient de bien évaluer si cette option répond à vos besoins financiers. 

 

Qu’est-ce qu’un compte conjoint?

 

Un compte conjoint fonctionne de manière similaire à un compte chèque ou d’épargne individuel, à la différence qu'il peut avoir plusieurs titulaires. Chaque titulaire, qu'il s'agisse d'une personne physique ou morale, est responsable de l'ouverture du compte et des transactions qui y sont effectuées. Il existe deux types de comptes conjoints : le premier exige la signature de tous les titulaires pour autoriser un retrait tandis que le second permet à chaque titulaire d’accéder librement aux fonds sans signature. En d'autres termes, un compte conjoint implique un partage non seulement de l’accès aux fonds mais aussi de la responsabilité liée aux transactions. 

 

Pourquoi ouvrir un compte conjoint?   

 

Simplification des finances communes : Un compte conjoint permet de regrouper tous les paiements des dépenses partagées, comme le loyer, les factures, les voyages ou l’épicerie. Fini le besoin de répartir chaque dépense individuellement : tout est géré à partir d’un seul compte, simplifiant ainsi le suivi financier. 

 

Transparence et confiance : L'utilisation d'un compte conjoint peut renforcer la confiance au sein du couple et encourager un engagement accru envers les objectifs financiers partagés, tout en favorisant une meilleure communication. En disposant d’une vue globale des finances du ménage, chaque partenaire ressent une plus grande sécurité et un meilleur contrôle de leur situation financière. 

 

Épargne simplifiée : Le compte conjoint peut également servir de compte d’épargne pour financer des projets communs tels que des rénovations, un mariage ou des vacances. En épargnant ensemble, les partenaires peuvent atteindre leurs objectifs financiers de manière plus efficace et coordonnée. 

 

Les pièges du compte conjoint 

 

Perte de contrôle sur les dépenses : Un compte conjoint accorde à chaque titulaire un accès complet aux fonds, ce qui signifie que des transactions peuvent être effectuées sans le consentement de l'autre partenaire. Cela peut devenir problématique si l'un des conjoints adopte une gestion financière irresponsable, augmentant ainsi le risque de tensions et de conflits. La confiance est donc primordiale avant de créer un compte conjoint. Il est également essentiel que les deux partenaires soient alignés sur leurs objectifs financiers et partagent une vision commune de la gestion des finances afin d’éviter des conflits potentiels. En effet, une fois ouvert, chaque titulaire a un accès total aux finances et s’associer avec une personne peu fiable peut entraîner des pertes irrécupérables. Par exemple, si vous ouvrez un compte conjoint avec quelqu’un, rien ne garantit que cette personne ne dépense pas tous les fonds du compte, et ce, sans aucune répercussion. 

 

Responsabilité conjointe : Un compte conjoint signifie que les deux titulaires partagent non seulement les fonds mais également les dettes. Si une marge de crédit est rattachée au compte, les deux partenaires doivent assumer le remboursement même si l’un d’eux n’a pas effectué les dépenses. En cas de difficultés financières d’un des titulaires, le compte peut être saisi par les créanciers, exposant ainsi l’autre partenaire à des risques financiers importants. 

 

Problèmes en cas de séparation : Par défaut, les fonds d’un compte conjoint sont présumés partagés à parts égales (50/50) sauf si une entente spécifique est signée auprès de l’institution financière pour modifier cette répartition. Sans accord écrit, la répartition des fonds pourrait ne pas correspondre aux attentes des titulaires ce qui peut causer des conflits. De plus, si le compte est ouvert avec un nouveau partenaire dans une union non reconnue légalement, celui-ci pourrait facilement retirer la totalité des fonds et fermer le compte sans restriction, créant un risque important pour l’autre titulaire. 

 

Alternatives à envisager   

 

Étant donné que l'ouverture d'un compte conjoint implique de nombreuses responsabilités, il est sage de considérer d'autres options avant de prendre cette décision ;  

Utilisation d'outils : Les applications peuvent simplifier le suivi des dépenses dans un couple. Par exemple, une application comme Splitwise permet de créer des groupes où les factures sont partagées, facilitant ainsi le suivi des dépenses communes. 

Compte conjoint spécifique : Plutôt que de regrouper toutes vos finances dans un compte conjoint, il peut être plus judicieux d’ouvrir un compte conjoint spécifique pour un seul type de dépense, comme celles liées à la maison. Par exemple, un compte commun exclusivement dédié au paiement de l’hypothèque et des frais d’entretien permet de simplifier la gestion des dépenses du foyer, tout en conservant des comptes individuels pour les autres dépenses personnelles. Cette approche permet également de s’habituer graduellement à l’utilisation d’un compte conjoint et de trouver ses marques. Une fois la confiance renforcée et le fonctionnement bien compris, vous pourrez alors envisager une utilisation plus globale du compte. 

 

Prenez une décision en toute confiance 

 

L'ouverture d'un compte conjoint est une décision importante qui s'accompagne de responsabilités. Comme pour toute décision financière, elle doit être réfléchie et planifiée. Une mauvaise gestion d'un compte conjoint peut avoir des répercussions pour les deux titulaires, d’où l'importance de discuter avec votre partenaire de vos objectifs financiers avant de vous lancer. 

Chez Stratéginc, nous savons à quel point il est crucial de bien organiser vos finances, que ce soit en couple ou individuellement. Notre équipe vous aidera à établir une stratégie financière sur mesure, adaptée à vos besoins, tout en maximisant votre protection. Prenez rendez-vous dès aujourd'hui pour découvrir les options qui s’offrent à vous et bâtir un plan qui répond à vos attentes. 

Découvrez ce que 80 % des propriétaires oublient de faire!

Renégocier votre hypothèque, cela peut sembler compliqué, mais saviez-vous que 8 propriétaires sur 10 passent à côté de milliers de dollars en ne le faisant pas?

La majorité accepte simplement l’offre de renouvellement de leur banque sans poser de questions, principalement parce qu'ils font confiance à leur institution et souhaitent gagner du temps en évitant de comparer d’autres offres. Mais saviez-vous que cela pourrait vous coûter très cher? Le renouvellement est une occasion parfaite de changer vos conditions et de réduire vos paiements. Et la bonne nouvelle, c’est facile avec l’aide d’un courtier hypothécaire.

 

maison clef

C'est quoi, un renouvellement hypothécaire?

 

Votre hypothèque est souvent divisée en termes de 5 ans. À la fin de chaque terme, c’est votre chance de renégocier.

C’est une étape importante car vous pouvez :

Si vous ne faites rien, votre banque renouvellera automatiquement. Mais  il est rare que ce soit à votre avantage!

 

Pourquoi le renouvellement est-il si important?

 

Le taux d’intérêt de votre hypothèque a un impact direct sur vos paiements mensuels. Voici un tableau qui illustre l’impact d’un écart de taux sur un prêt de 250 000 $ amorti sur 20 ans, en prenant 3 % comme taux de départ :

 

Renégocier peut faire une énorme différence pour votre budget, même un écart de taux de 0,5 % (de 3 % à 3,5 %) se traduit par une hausse d’environ 66 $ par mois, soit près de 4 000 $ sur 5 ans. À l’autre extrémité, passer de 3 % à 5 % représente 266 $ de plus par mois, soit 16 000 $ sur 5 ans. La renégociation d’un taux hypothécaire peut rapidement libérer des sommes considérables pour un voyage à chaque année ou des rénovations importantes par exemple!

 

clef hypothèque

3 erreurs fréquentes au renouvellement

 

1. Accepter l’offre sans poser de questions. Votre banque ne vous proposera pas forcément la meilleure offre. Prenez le temps de comparer.

2. Attendre à la dernière minute. Commencez à explorer vos options 4 à 6 mois avant la fin de votre terme.

3. Passer à côté des avantages d’un courtier. Le courtier magasine, négocie et vous simplifie tout le processus. Beaucoup pensent à tort que les courtiers coûtent cher ou ne valent pas la peine. En réalité, leur service est 100 % gratuit.

 

Pourquoi faire affaire avec un courtier?

 

Il fait tout pour vous :

 

Comment cela fonctionne?clef maison

 

Faire affaire avec un courtier, c’est simple et rapide. Vous contactez un courtier et lui expliquez que votre hypothèque arrive à échéance. Il analyse vos besoins et magasine les meilleures offres pour vous. Ensuite, vous choisissez l’hypothèque qui vous convient, signez et commencez à économiser immédiatement.

N’attendez pas que votre banque vous impose ses conditions. Appelez un courtier maintenant et découvrez combien vous pourriez économiser!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La retraite du roi de Wall Street : ce que Warren Buffett nous lègue

Auteur : Pascal Dion • 5 min de lecture

 

La fin d’une ère à Berkshire Hathaway

Warren Buffett, surnommé l’Oracle d’Omaha, est bien plus qu’un investisseur à succès. Il incarne une sagesse financière rare, faite de patience, de pragmatisme et d’humilité.

En 1965, il prend le contrôle de Berkshire Hathaway, une entreprise de textile qu'il transforme en un conglomérat diversifié, incluant des participations dans des entreprises comme Apple ou Coca-Cola.

Après plus de six décennies à sa tête, il a annoncé qu’il se retirerait fin 2025. Une fin de chapitre pour la finance mondiale mais aussi le début d’une réflexion sur l’héritage qu’il laisse en valeurs, autant qu’en richesse.

 

Les piliers de la stratégie d’investissement distinctive de Warren Buffett :

Résultat : Cette méthode rigoureuse a permis à Berkshire Hathaway de générer un rendement annuel moyen de 20,3 % entre 1965 et 2020, contre 10 % pour le marché global.

 

Une retraite anticipée mais orchestrée

À 94 ans, Warren Buffett annonce sa retraite de la direction de Berkshire Hathaway non pas dans l’urgence ou la pression mais avec une sérénité stratégique, fidèle à sa philosophie d’investisseur. Depuis plus d’une décennie, il prépare cette transition et c’est finalement Greg Abel, déjà vice-président de la société, qui prendra les rênes. Ce choix, fruit d’un processus interne rigoureux, témoigne de l’importance que Buffett accorde à la continuité et à la culture d’entreprise.

En orchestrant lui-même cette succession, Buffett offre une dernière leçon de leadership : anticiper, déléguer avec confiance, et transmettre un cap clair.

Berkshire Hathaway reste ainsi fidèle à son ADN : un géant discret, résilient et tourné vers le long terme.  

 

L’héritage d’une philosophie d’investissement

Warren Buffett ne lègue pas seulement un conglomérat de 900 milliards de dollars, mais une vision du capitalisme patient. Dans un monde dominé par la spéculation et la rapidité, il a incarné une approche lucide et durable : « Achetez des actions d’entreprises de qualité à un prix raisonnable et gardez-les longtemps. » Cette maxime simple a traversé toutes les crises, des bulles internet aux krachs pandémiques. 

La force de sa philosophie tient à sa constance et sa discipline. Il a toujours évité les effets de mode, ignoré les cryptomonnaies et les paris technologiques risqués, préférant miser sur des entreprises utiles, compréhensibles et bien dirigées. 

À l’ère du trading automatisé, son approche peut sembler dépassée, mais c’est justement ce qui fait sa singularité. Investir, pour lui, c’est s’associer sur le long terme à des entreprises. 

Plus largement, Buffett transmet une éthique de l’investissement : une vision de l’économie comme outil de construction collective, non comme un jeu de hasard. Sa philosophie reste une boussole précieuse dans l’incertitude des marchés modernes. 

 

La richesse comme outil, pas comme but

Warren Buffett n’a jamais vu la richesse comme une fin en soi, mais comme un outil de responsabilité. En 2006, il annonce qu’il lèguera plus de 99 % de sa fortune à des causes philanthropiques, principalement via le Giving Pledge, un engagement qu’il a cofondé avec Bill Gates et qui incite les milliardaires à donner au moins la moitié de leur patrimoine. Cette décision est le reflet d’une vie cohérente, loin de tout coup de communication. 

Buffett a toujours précisé que ses enfants recevraient « juste assez pour qu’ils puissent faire ce qu’ils veulent, mais pas assez pour qu’ils ne fassent rien ». Pour lui, la valeur se trouve dans les principes, pas dans l’argent. 

Son mode de vie reflète cette philosophie : vivant dans la même maison depuis 1958, sans luxe ostentatoire, il incarne la frugalité. Être riche, pour lui, ce n’est pas posséder plus, mais mieux comprendre ce qu’on possède. 

En plaçant la philanthropie au cœur de sa succession, Buffett redéfinit l’héritage : une transmission de sens, pas seulement de biens. Il nous rappelle que la fortune n’est pas une ligne d’arrivée mais un levier pour bâtir un monde plus juste, plus humain et plus durable. 

 

L’Oracle s’éclipse, l’écho reste

Warren Buffett prend sa retraite, mais son influence est loin de s’éteindre. Comme un bon investissement, son impact va continuer à croître avec le temps. Il a transformé une entreprise textile moribonde en un conglomérat colossal mais il a surtout transformé des millions de vies à travers ses conseils, ses lettres personnalisées aux actionnaires et ses engagements philanthropiques. En quittant la scène, il ne nous dit pas "au revoir", mais plutôt : "À vous de jouer". 

 

Position de Pascal Dion : Chez Strateginc, nous partageons pleinement la vision d'investissement qui a fait le succès de Warren Buffett : acheter des actifs fondamentalement solides et sous-évalués, puis les conserver avec patience. 

Comme le démontre l'histoire financière, cette discipline de "value investing" combinée à une diversification intelligente permet à la fois de réduire les risques et d'optimiser les rendements sur le long terme. 

Nous appliquons ces principes intemporels dans notre gestion de portefeuille, en privilégiant toujours la qualité des actifs sur les tendances passagères. À l'instar de Buffett, nous croyons que la véritable valeur se construit dans la durée et non dans la spéculation à court terme. Notre expérience confirme quotidiennement cette vérité : une approche méthodique, associant rigueur d'analyse et patience, reste la voie la plus sûre vers la réussite financière. 

 

Prenez un rendez-vous avec l'un des membres de notre équipe. 

Sources : 

Comment bien utiliser son retour d’impôt?

Auteur : Pascal Dion

Chaque année, lorsque la période des impôts se termine, plusieurs Québécois reçoivent un remboursement d’impôt sans trop savoir quoi en faire. Faut-il se gâter un peu? Remettre cet argent sur la carte de crédit? Investir? Avant de prendre une décision impulsive, prenez un moment pour considérer les options qui pourraient réellement faire avancer vos finances personnelles.

Voici nos meilleures recommandations pour tirer profit de votre retour d’impôt de façon judicieuse et durable.

 

C’est quoi, un retour d’impôt?

 

Le retour d’impôt, c’est l’argent que vous avez versé en trop au gouvernement tout au long de l’année, généralement par les déductions sur votre paie. Ce montant vous revient parce que vous aviez droit à certaines déductions, crédits d’impôt ou cotisations qui n’ont pas été pris en compte automatiquement. Bref, ce n’est pas un cadeau : c’est votre argent. Autant bien l’utiliser!

 

Comment est calculé le montant reçu?

 

Plusieurs éléments influencent le montant de votre remboursement :

Des outils de calcul gratuits comme ceux de Revenu Québec ou de l’ARC peuvent vous aider à estimer votre remboursement potentiel.

 

Cinq façons efficaces d’utiliser votre retour d’impôt

 

1. Rembourser vos dettes

Si vous avez des dettes à taux d’intérêt élevé (cartes de crédit, marges de crédit, prêts personnels), le remboursement partiel ou total avec votre retour d’impôt est une excellente décision. Vous réduirez vos charges d’intérêt mensuelles, et en prime, cela peut améliorer votre dossier de crédit – un atout majeur si vous planifiez un projet hypothécaire prochainement.

 

2. Effectuer un paiement anticipé sur votre hypothèque

Même si l’hypothèque est souvent vue comme une "bonne dette", un paiement anticipé peut vous faire économiser beaucoup d’intérêts. Vérifiez les conditions de remboursement de votre contrat hypothécaire pour éviter les pénalités.

 

3. Investir dans votre avenir

Votre retour d’impôt peut devenir un levier pour accélérer vos projets à long terme :

Plus vous commencez tôt, plus vous profitez des intérêts composés.

 

4. Mettre sur pied un fonds d’urgence

Les imprévus arrivent plus souvent qu’on ne le souhaite (réparation automobile, perte d’emploi, frais médicaux, etc.). Un bon coussin financier (3 à 6 mois de dépenses essentielles) peut faire toute la différence. Votre retour d’impôt est un excellent point de départ.

 

5. Éviter les dépenses impulsives

Se faire plaisir n’est pas interdit, mais attention aux décisions impulsives qui nuisent à votre stabilité financière. Se faire plaisir, c’est correct, mais prenez le temps d’évaluer vos priorités et n’hésitez pas à établir un budget avant de dépenser ce montant. Un achat réfléchi vaut mieux qu’une gratification immédiate.

 

Maximisez dès maintenant votre futur remboursement

 

Cotisez aux bons endroits

Les REER, CELIAPP, REEE et autres régimes enregistrés offrent d’excellents avantages fiscaux. En cotisant chaque année, vous réduisez vos impôts à payer et augmentez votre potentiel de remboursement. Gardez un œil sur vos plafonds de cotisation pour éviter les pénalités.

 

Ce qu’il faut retenir

Un retour d’impôt, ce n’est pas un chèque cadeau. C’est une occasion d’avancer financièrement. Que ce soit pour rembourser, épargner ou investir, chaque dollar bien utilisé peut faire une vraie différence.

Et si vous ne savez pas par où commencer, parlez-en à un conseiller financier!

Hypothèque 101 : Tout ce que vous devez savoir avant de commencer

Jeune couple acheteurAuteur: Pascal Dion

Acheter une maison, c’est souvent le rêve d’une vie pour bien des Québécois. Mais parler d’hypothèque, avouons-le, ça peut être intimidant.

Prenons l’exemple d’Alice et Thomas. Depuis trois ans, ils économisent pour leur mise de fonds, rêvant d’une maison confortable avec une grande cour où leur futur enfant pourra jouer. Mais avec la hausse des prix de l’immobilier, ils craignaient de ne jamais pouvoir acheter. Entre choisir le bon prêt, comparer les offres et gérer les nombreuses démarches administratives, ils se sentaient perdus.

Puis, ils ont rencontré un courtier hypothécaire. En quelques rencontres, leur budget était clair, leur préapprobation en main, et ils ont choisi une hypothèque à taux fixe avec des paiements stables. Aujourd’hui, Alice et Thomas vivent leur rêve, profitant de leur maison sans stress.

Notre guide plus bas est justement pour vous simplifier la vie, comme un courtier l'a fait pour eux!

Maison Hypothèque

 

Qu'est-ce qu'une hypothèque?

 

C’est un prêt offert par une banque pour acheter une maison. Par exemple, si vous empruntez 300 000 $, vous remboursez une partie (le capital) chaque mois, avec des frais pour l’emprunt (les intérêts).

Si vous cessez de payer, la banque peut vendre la maison pour récupérer son argent. Simple, non? C’est un peu comme acheter votre maison un morceau à la fois.

 

Les différents types de prêts hypothécaires

 

Le taux d’intérêt, c’est le prix que vous payez pour emprunter de l’argent. Dans une hypothèque, ce taux influence directement le montant de vos paiements. Plus il est bas, moins ça vous coûte cher en intérêts.

Il existe deux types de taux :

Taux fixe, le taux reste le même tout au long du terme. Pas de surprise.

Taux variable, le taux change selon le marché. Parfois ça monte, parfois ça descend.

Quelques termes à comprendre :

 

Clef maison

Qu’est-ce qu’un courtier hypothécaire?

 

Tout le monde peut obtenir une hypothèque, mais un courtier se distingue en recherchant pour vous la solution la plus avantageuse. Grâce à son expertise, il analyse et compare les taux, prêts et marges hypothécaires afin de vous faire gagner du temps et de vous proposer l'offre la mieux adaptée à vos besoins.

Imaginez que vous êtes prêt à acheter une maison, mais vous êtes débordée par toutes les offres des banques et ne savez pas laquelle choisir.

Un courtier :

 

Comment obtenir une hypothèque?

 

  1. Vérifiez votre cote de crédit : Une bonne cote aide à obtenir de meilleurs taux.
  2. Préparez votre budget : Prévoyez vos paiements et frais liés à l’achat.
  3. Rassemblez vos documents financiers : Relevés bancaires, talons de paie, avis de cotisation (impôts).
  4. Obtenez une préapprobation : Découvrez combien vous pouvez emprunter.
  5. Faites affaire avec un courtier hypothécaire : Gratuit et efficace, travailler avec un courtier peut vous épargner beaucoup de temps et d’argent.

 

Comme Alice et Thomas, vous pouvez transformer ce projet complexe en une réalité accessible. Avec les bonnes informations, c’est beaucoup plus simple que vous ne le pensez. Parlez à un courtier dès aujourd’hui pour commencer votre parcours immobilier sans stress.

Ce que le budget du Québec 2025 change pour vous!

Auteur: Pascal Dion

Le 25 mars dernier, le ministre des Finances du Québec, monsieur Éric Girard, a présenté le budget 2025-2026. On pourrait croire que ça ne concerne que les comptables et les politiciens, mais non. Ce budget touche directement votre portefeuille. Que vous ayez des enfants, une voiture électrique ou un rêve d’acheter une maison, voici ce que vous devez savoir!

 

Mesures destinées aux particuliers

 

Frais de garde : le crédit d’impôt va arrêter plus vite.
À partir de 2026, vous ne pourrez plus réclamer le crédit d’impôt pour frais de garde pour un enfant de 14 ans ou plus. La limite passe de 16 à 13 ans.
Exception : les enfants avec une déficience grave ne sont pas concernés par ce changement.

Soins de santé : Vous consultez un ostéopathe, naturopathe ou homéopathe?
Dès 2026, seuls les soins donnés par un professionnel de la santé reconnu par un ordre professionnel du Québec seront admissibles (médecins, infirmières, etc.).

 

Vous roulez électrique ou hybride?

 

Dès la fin de 2026, plusieurs changements :

 

Vos assurances automobiles et habitations vous coûteront un peu plus cher

 

À partir de 2027, la taxe sur les primes d’assurance automobile et habitation passe de 9 % à 9,975 %. C’est une petite hausse, mais pour une famille qui paie 4 000 $ en assurances par année, ça représente 39 $ de plus.

 

Pour les entreprises : des incitatifs... mais aussi des plafonds

 

Pas de hausse du plafond pour les PME

 

Les entreprises dont la masse salariale est inférieure à 7,8 millions $ peuvent continuer de profiter d’un taux réduit de cotisation au Fonds des services de santé (FSS). Ce seuil était ajusté chaque année pour suivre l’inflation — mais le gouvernement a décidé de le figer.

Autrement dit, si votre masse salariale dépasse cette limite dans les prochaines années, vous perdrez le rabais, peu importe l’indexation.

 

Un nouveau crédit pour l’intelligence artificielle

 

Le crédit d’impôt pour le développement des affaires électroniques (CDAE) tire sa révérence. Il sera remplacé par le CDAEIA, un nouveau programme mieux adapté aux réalités d’aujourd’hui, notamment en matière d’intelligence artificielle.

Voici comment il fonctionnera :

Ce nouveau crédit vise à soutenir les entreprises des TI qui innovent, en particulier celles qui intègrent l’IA dans leurs activités.

 

Des avantages fiscaux qui disparaissent pour de bon

 

Le gouvernement coupe dans certains programmes qui profitaient surtout aux investisseurs et aux gros donateurs :

 

Pas de hausse d’impôt sur les gains en capital

 

Le gouvernement fédéral a décidé de laisser tomber son projet d’augmenter le taux d’inclusion sur les gains en capital. Le Québec, qui avait laissé entendre qu’il pourrait suivre cette réforme, a finalement choisi de ne pas aller de l’avant non plus.

 

Achat d’une première maison : un coup de main bienvenu

 

Le gouvernement fédéral a annoncé qu’il allait abolir la TPS sur les maisons neuves de 1 million $ ou moins pour les acheteurs d’une première propriété.

Une économie qui peut atteindre jusqu’à 50 000 $ — c’est pas rien dans un marché où les prix sont déjà bien élevés. La date d’entrée en vigueur reste à préciser.

 

Ce qu’il faut retenir

 

Le gouvernement mise sur des dépenses plus ciblées et des programmes mieux adaptés aux priorités économiques d’aujourd’hui. Moins de crédits d’impôt dispersés, plus de soutien à l’innovation et à la croissance des entreprises stratégiques.

Prenez le temps de voir ce que ça change dans votre situation. Et si vous êtes en affaires, en investissement ou en planification, ça vaut la peine d’en discuter avec un spécialiste.

Budget Fédéral 2024 : 40 milliards à recouvrir

Auteur: Pascal Dion

 

Le dernier budget fédéral fera passer le taux d’inclusion pour les gains en capital de 50% à 66 2/3% pour les sociétés et les fiducies. Pour les particuliers, il va avoir une augmentation du taux d’inclusion à 66 2/3% à partir de gains en capital supérieur à 250 000$. Le changement du taux d’inclusion va rentrer en vigueur à partir du 25 juin 2025.

Les résidences principales et les fonds enregistrés sont exemptés de ce budget (CELI, REER, CELIAPP, CRI, etc.). Il faut comprendre que tous éléments non-enregistré sont touchés, donc cela inclut une deuxième résidence ou un investissement immobilier ainsi que vos investissements dans les comptes non-enregistrés.

Comment fonctionne le seuil de 250 000$? Celui-ci s’applique aux gains en capital réalisés par un particulier après déduction des éléments suivants :

Pour mieux comprendre, voici un exemple qui montre comment un particulier va payer plus d’impôt sur la vente de son chalet après le 25 juin 2024. Dans notre exemple, Pierre a fait un gain en capital de 400 000$ avec la vente de son chalet qui est sa deuxième propriété en prenant note que son taux d’imposition est de 50% afin de simplifier le problème.

 

Gain en capital, impot, taux inclusion

 

Avec le changement, si Pierre vend son chalet après le 25 juin 2024, il paiera 12 500$ de plus avec le nouveau budget.

 

Le régime d’accession à la propriété (RAP) devient plus flexible!

 

Une autre mesure qui touche les particuliers va être l’augmentation de la limite maximale de retrait pour le régime d’accession à la propriété (RAP) et l’allégement temporaire des sommes à rembourser. Les modifications du RAP vont s’appliquer à partir du 1 er janvier 2024 et les années suivantes relativement aux retraits effectués.

RAP, limite maximale de retrait, imposition, Achat maison

 

Plusieurs mesures vont changer pour les entrepreneurs

 

1. Le taux d’inclusion du gain en capital sera augmenté pour les entreprises sans avoir un seuil

 

Le budget propose d’augmenter le taux d’inclusion des gains en capital d’une demie (50 %) à deux tiers (66 2/3%) pour les sociétés et les fiducies sans avoir le seuil que les particuliers ont.

 

2. Augmentation de l’exonération cumulative des gains en capital

 

Lors la disposition d’actions admissibles de petite entreprise et de biens agricoles ou de pêche admissibles, il existe, tout en suivant les règles pour se qualifier, une exonération fiscale cumulative des gains en capital. En terme simple, lorsqu’un entrepreneur dispose de ses actions il a une exonération fiscale cumulative de 1 016 836$ en 2024 qui est indexé annuellement à l’inflation. Le budget fédéral de 2024 veut l’augmenter à un maximum de 1 250 00$ et de poursuivre l’indexation à partir 2026. Cette mesure rentre en vigueur avec les dispositions effectuées à partir du 25 juin 2024.

 

3. Incitatif aux entrepreneurs canadiens

 

Afin de diminuer le taux d’imposition sur les gains en capital au moment de la disposition d’actions admissibles par un particulier admissible, le gouvernement a décidé de mettre un incitatif aux entrepreneurs canadiens. L’incitatif va prévoir que le taux d’inclusion des gains en capital va représenter la moitié du taux d’inclusion qui a été annoncé (66 2/3%) jusqu’à 2 millions. Le plafond va augmenter progressivement par tranches de 200 000$ par année à compter du 1er janvier 2025. Donc, le taux d’inclusion va être de 33 1/3% (50% X 66 2/3%) pour les dispositions d’actions admissibles en plus de l’exonération pour gain en capital disponible.

Pour réduire l’impôt sur les gains en capital lors de la vente d’actions admissibles par un particulier admissible, le gouvernement a créé un incitatif aux entrepreneurs canadiens. L’incitatif va faire passer le taux d’inclusion des gains en capital à 33 1/3% (50% X 66 2/3%) au lieu de 66 2/3% pour les premiers 2 millions. Le plafond va augmenter de 200 000$ par an à partir du 1er janvier 2025. L’exonération pour gain en capital reste disponible.

Il s’agit de changements soudain dans l’économie qui peuvent avoir un impact sur vos stratégies en investissement et en planification de retraite si vous envisager faire l’achat d’une résidence secondaire. Nous vous invitons à prendre rendez-vous avec nous afin de regarder l’ensemble de votre situation financière afin de l’optimiser au maximum.

Prenez un rendez-vous avec l'un des membres de notre équipe.

 

 

Sources:

Analyse du budget fédéral | «On est rendus habitués, avec les libéraux, aux déficits monstres» — 98.5 Montréal (985fm.ca) 

Budget fédéral 2024 : déficits stables et négociations en vue (rcgt.com) 

Budget fédéral 2024 | Placements mondiaux Sun Life 

Budget fédéral 2024 | BJC 

Si votre conseiller ne vous en a pas parlé, voici tous les nouveaux changements de votre compte de retraite immobilisé!

Auteur: Pascal Dion

Bonnes nouvelles pour les propriétaires d'un fonds de pension

Le 27 décembre dernier le gouvernement du Québec a appliqué des modifications aux articles 90.1 et 92 de la Loi sur les régimes complémentaires de retraite, concernant le compte de retraite immobilisé (CRI) et le compte enregistré fonds de revenu viager (FRV). Le FRV touche toutes les personnes effectuant des cotisations dans un fonds de pension chez son employeur. Cette situation touche énormément de personnes, surtout les personnes travaillant à des postes gouvernementaux tels qu’Hydro-Québec et la Ville de Montréal. 

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Pour ouvrir ce compte, vous devrez avoir quitté votre emploi avant d'être admissible à une rente immédiate. Il est ainsi possible d'obtenir un remboursement de vos cotisations et de transférer vos droits accumulés dans un compte de retraite immobilisé (CRI). Il faut savoir que ce compte est bloqué, c’est-à-dire que vous ne pouvez pas y cotiser ni effectuer de retraits. Il est exclusivement utilisé afin de protéger vos fonds pour votre retraite et l’argent qui y est initialement versé par votre ex-employeur est non imposable comme un REER. La seule manière de retirer les fonds est de transférer son compte CRI en compte FRV avant le 31 décembre de l'année où vous atteignez 71 ans. 

Le FRV est un compte enregistré de revenu de retraite qui vous permet de retirer des montants de votre retraite jusqu’à votre décès. Comparativement au Fonds enregistré de revenu de retraite (FERR), le FRV présente certaines différences en ce qui concerne les retraits. Ainsi, tout comme le FERR, vous devrez retirer un montant minimal chaque année, mais vous devez également respecter une limite maximale calculée en fonction de l'âge, du solde du FRV et du taux de référence annuel pour les FRV (6% en 2024). Il est également possible d'effectuer des retraits avant la retraite ou de dépasser le seuil maximal grâce aux retraits temporaires (occasionnels).  

Ainsi, certaines conditions s’appliquent pour effectuer un retrait temporaire. Pour les personnes de moins de 54 ans, vous devez avoir possédé un seul FRV et avoir des revenus qui ne dépasseront pas 40% du maximum des gains admissibles (MGA) soient 27 400$, au cours des 12 mois qui suivent sa demande ou 75% de votre revenu annuel. Pour les personnes âgées de 54 à 64 ans, vous pouvez tirer un revenu temporaire chaque année peu importe votre revenu annuel. Toutefois, vous pourriez demander un remboursement partiel ou total de vos comptes CRI ou FRV selon différentes éventualités. Ainsi, vous pourriez faire une demande de remboursement si vous n’êtes plus un résident canadien, au décès du détenteur et en cas d’invalidité. Finalement, si vous êtes âgés de plus de 65 ans, vous n’êtes pas admissible au revenu temporaire.  

Voici les changements dont le FRV sera sujet :

 

tableau

Modifications à venir aux règles d’immobilisation | Finance et Investissement (finance-investissement.com) 

Précédemment, le FRV était assujetti à des retraits annuels minimums et maximums, ce qui représentaient un inconvénient pour les titulaires de FRV par rapport aux titulaires de FERR, qui n'étaient pas soumis à de telles restrictions. À partir du 1er juillet 2024, il n'y aura plus de plafond pour les retraits des personnes âgées de 55 ans et plus. Par conséquent, il ne sera plus possible de désimmobiliser un FRV pour le transférer à un REER, à un FERR ou à la portion non immobilisée d'un RVER. Également, si vous avez plus de 55 ans, vous ne pourriez plus demander de revenu temporaire puisqu’il n’y a plus de maximum aux retraits.  

Cependant, à l'âge de 54 ans, les retraits maximums seront toujours assujettis à un plafond viager. De plus, des changements sont prévus pour les retraits temporaires, qui passeront d'un maximum de 40 % du maximum des gains admissibles (MGA) à 50 % des MGA, mais moins que 100 % de votre revenu annuel.  Toutefois, ce changement pour le revenu temporaire n'entrera pas en vigueur avant le 1er janvier 2025. 

Somme toute, la suppression des plafonds pour les retraits des personnes de plus de 55 ans ainsi que l’ajustement prévu pour les retraits minimums temporaires reflètent une tentative d’aligner davantage ces comptes avec les besoins financiers des bénéficiaires et de l’élimination des désavantages par rapport au FERR.  

Les récentes réformes au compte FRV ont un impact sur la planification de retraite des Québécois, nous vous invitons à prendre rendez-vous avec nous pour voir comment votre paysage financier en est affecté : Nous joindre | Groupe financier Stratéginc (strateginc.com). 

 

Sources:

Modifications à venir aux règles d’immobilisation | Finance et Investissement (finance-investissement.com) 

Retraite Québec - Caractéristiques du CRI (gouv.qc.ca) 

Retraite Québec - Remboursement des CRI et des FRV (gouv.qc.ca) 

Retraite Québec - Types de revenus possibles (gouv.qc.ca) 

Acheter une maison versus louer un appartement : Quel est le meilleur choix?

Auteur: Pascal Dion

Quel est le meilleur choix ? 

De nombreuses inquiétudes surgissent pour savoir quel est le moment parfait pour l’achat d’une maison. Est-il plus intéressant d’acheter que de louer? Pour répondre à cette question, il faudra établir plusieurs hypothèses puisque la situation économique et le style de vie de chacun diffère. Avant de prendre cette importante décision financière, il faut s’assurer qu’elle vous convient. 

 

Pour et contre : Acheter et louer

Avantages d’acheter : 

 

 

Inconvénients d’acheter : 

 

 

Avantages de louer : 

 

 

 

Inconvénients de louer : 

 

 

Afin de conclure, nous tenons à vous rappeler que le marché immobilier constitue une décision majeure et que la valeur d’une maison peut perdre de sa valeur pour diverses raisons. Il est essentiel de se renseigner sur le sujet afin de faire le choix la plus éclairé.

Ce qui fait vraiment la différence, c’est d’avoir un accompagnement personnalisé qui considère toute ta situation financière. Une hypothèque n’est pas qu’une dette, c’est un élément clé de ta stratégie financière globale.

Quand ton courtier hypothécaire collabore avec ton conseiller financier, ça ouvre la porte à des stratégies bien plus intéressantes qu’un simple prêt : accélérer le remboursement, refinancer judicieusement, investir dans l’immobilier ou même planifier ta retraite.

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Sources:

30 ans d'immobilier, le constat | LesAffaires.com 

Canada - Taux d'intérêt | 1990-2024 Données | 2025-2026 Prévisions (tradingeconomics.com) 

Combien faut-il gagner pour acheter une maison ? | La Presse 

9 frais à prévoir lors de l'achat d'une maison | Banque Nationale (bnc.ca) 

Les loyers explosent, un contrôle s’impose! - Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (rclalq.qc.ca) 

L'inestimable avantage fiscal que vous procure votre maison | LesAffaires.com 

Portail de l'Indice des prix à la consommation (statcan.gc.ca) 

Prévisions 2023 de Royal LePage (rlpnetwork.com) 

Prévisions 2024 de Royal LePage (rlpnetwork.com) 

Propriété : est-il préférable d’acheter ou de louer? | AMF (lautorite.qc.ca) 

Une hausse des loyers suggérée de 4 % pour 2024 (lesoleil.com)