Depuis le début de l’année 2025, les marchés financiers ont été secoués par une série d’événements inattendus : l’annonce soudaine de tarifs douaniers massifs par les États-Unis, un conflit géopolitique entre Israël et l’Iran, des fluctuations marquées des prix du pétrole et de l’or, ainsi qu’un ralentissement économique au Canada et aux États-Unis. Ces événements ont provoqué une forte volatilité sur les marchés, semant l’inquiétude chez de nombreux investisseurs.
Et pourtant, malgré ce contexte instable, les marchés boursiers ont rebondi avec vigueur. Les indices nord-américains ont atteint des sommets historiques à la fin du deuxième trimestre, portés par la résilience des entreprises et un apaisement des tensions commerciales. Ce revirement rapide démontre à quel point il est difficile, voire impossible, de prédire avec certitude l’évolution des marchés à court terme.
Ce que nous avons vécu depuis janvier est un rappel clair : les marchés sont imprévisibles. Les nouvelles économiques, politiques ou géopolitiques peuvent changer la donne du jour au lendemain. Tenter de « chronométrer » le marché ou de miser sur un seul secteur ou une seule région comporte des risques importants.
C’est pourquoi la diversification demeure l’un des principes les plus fondamentaux en investissement. En répartissant les placements entre différentes classes d’actifs, secteurs et régions géographiques, on réduit l’impact négatif d’un événement isolé sur l’ensemble du portefeuille. La diversification ne garantit pas un rendement, mais elle permet de mieux gérer les risques et d’augmenter les chances de stabilité à long terme.
Depuis le début de l’année 2025, les marchés financiers ont été secoués par une série d’événements inattendus : l’annonce soudaine de tarifs douaniers massifs par les États-Unis, un conflit géopolitique entre Israël et l’Iran, des fluctuations marquées des prix du pétrole et de l’or, ainsi qu’un ralentissement économique au Canada et aux États-Unis. Ces événements ont provoqué une forte volatilité sur les marchés, semant l’inquiétude chez de nombreux investisseurs.
Et pourtant, malgré ce contexte instable, les marchés boursiers ont rebondi avec vigueur. Les indices nord-américains ont atteint des sommets historiques à la fin du deuxième trimestre, portés par la résilience des entreprises et un apaisement des tensions commerciales. Ce revirement rapide démontre à quel point il est difficile, voire impossible, de prédire avec certitude l’évolution des marchés à court terme.
Ce que nous avons vécu depuis janvier est un rappel clair : les marchés sont imprévisibles. Les nouvelles économiques, politiques ou géopolitiques peuvent changer la donne du jour au lendemain. Tenter de « chronométrer » le marché ou de miser sur un seul secteur ou une seule région comporte des risques importants.
C’est pourquoi la diversification demeure l’un des principes les plus fondamentaux en investissement. En répartissant les placements entre différentes classes d’actifs, secteurs et régions géographiques, on réduit l’impact négatif d’un événement isolé sur l’ensemble du portefeuille. La diversification ne garantit pas un rendement, mais elle permet de mieux gérer les risques et d’augmenter les chances de stabilité à long terme.
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